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Mercredi 13 novembre 2024 :

Consigne : Vous devez réaliser une introduction intégralement rédigée, un plan dialectique en trois parties ainsi qu’une courte bibliographie des références utilisées pour nourrir votre réflexion. L’interrogation consiste en l’exposé (15 min) des étapes de préparation, d’analyse et de problématisation du sujet, à l’épreuve de votre lecture personnelle des œuvres au programme et des textes critiques complémentaires. Un entretien de 15 min permet d’approfondi, corriger, prolonger les points abordés. C’est également l’occasion d’une mise au point méthodologique.

Colomer Hélio et Coupy Cassandre :

Georges Simenon affirme qu’« personnage de roman, c’est n’importe qui dans la rue, mais qui va jusqu’au bout de lui-même. »

Vous discuterez cette proposition en l’appliquant particulièrement aux lectures de la première séquence : œuvres de Maupassant et textes complémentaires.

Carnet Lilou et Vallantin-Dulac Marta :

Réfléchissant à l’architecture mentale du genre narratif, Milan Kundera déclare que : « le roman est une méditation sur l’existence vue au travers de personnages imaginaires. »

Vous discuterez cette proposition en l’appliquant particulièrement aux lectures de la première séquence : œuvres de Maupassant et textes complémentaires.

Macé Candice et Chognot Tanguy :

« L’avantage de la nouvelle par rapport au roman, c’est que dans la première on surprend le personnage au moment le plus intense de son existence, tandis que dans le second on est obligé de le suivre depuis le jour de sa naissance jusqu’au jour de sa mort (ou peu s’en faut). Ouvrez n’importe quel roman au hasard et le plus souvent vous tomberez sur un passage ennuyeux ou peu important pour l’histoire. » Philip K. Dick.

Vous discuterez cette proposition que vous appliquerez strictement au genre de la nouvelle, et en suivant le programme de Maupassant de la séquence 1.

Sobolewwski Lucie et Caïd Aëla :

À propos d’Edgar Allan Poe qu’il a traduit, Charles Baudelaire déclare du genre de la nouvelle : « Elle a sur le roman à vastes proportions, cet immense avantage que sa brièveté ajoute à l’intensité de l’effet. Cette lecture, qui peut être accomplie tout d’une haleine, laisse dans l’esprit un souvenir bien plus puissant qu’une lecture brisée, interrompue souvent par le tracas des affaires et le soin des intérêts mondains. »

Vous discuterez cette proposition que vous appliquerez strictement au genre de la nouvelle, et en suivant le programme de Maupassant de la séquence 1.

Consigne : Vous devez réaliser une introduction intégralement rédigée, un plan dialectique en trois parties ainsi qu’une courte bibliographie des références utilisées pour nourrir votre réflexion. L’interrogation consiste en l’exposé (15 min) des étapes de préparation, d’analyse et de problématisation du sujet, à l’épreuve de votre lecture personnelle des œuvres au programme et des textes critiques complémentaires. Un entretien de 15 min permet d’approfondi, corriger, prolonger les points abordés. C’est également l’occasion d’une mise au point méthodologique.

- Thomoux Naomie et Daniel Alicia :

« La question de savoir si la fiction parle […] du monde est d’abord celle, littérale, qui consiste à se demander si la fiction peut recouvrer une capacité référentielle. »

Christine Montalbetti, La Fiction, GF-Flammarion, « GF-Corpus », 2001.

Vous discuterez cette proposition en intégrant à votre réflexion les travaux sur l’étude des nouvelles de Maupassant.

- Jeandemange Paloma et Gillard-Crozeilles Lucie :

« […] la mimésis, dans son double travail, inséparable, d’imitation et de transformation, sollicite ma capacité d’identification de l’objet imité, mon plaisir de la reconnaissance. C’est pourquoi la fiction me fait tout à tour connaître et reconnaître le monde. »

Christine Montalbetti, La Fiction, GF-Flammarion, « GF-Corpus », 2001.

Vous discuterez cette proposition en intégrant à votre réflexion les travaux sur l’étude des nouvelles de Maupassant.

- Chardin Lucille et Gaulué Sarah :

« Il est clair que les œuvres de fiction en littérature et leurs équivalents dans les autres arts jouent un rôle éminent dans la construction du monde ; nos mondes ne sont pas plus hérités des scientifiques , biographes et historiens que les romanciers, dramaturges et peintres. »

Goodmann, Manières de faire des mondes (Ways of Worldmaking), Hackett Publishing Company, 1978, trad. M.-D. Popelard, Editions Jacqueline Chambon, 1992, p. 133

Vous discuterez cette affirmation en intégrant à votre réflexion les travaux sur l’étude des nouvelles de Maupassant.

- Laval Victor et Devillepoix Jade :

« Il est incontestable que la présence [des] contradictions [dans les œuvres fictionnelles] nous empêche d’assimiler les mondes fictionnels aux mondes possibles. »

Thomas Pavel, Univers de la fiction (Fictionals Worlds, Harvard university Press, 1986) Seuil, 1988, p. 67.

Vous discuterez cette affirmation en intégrant à votre réflexion les travaux sur l’étude des nouvelles de Maupassant.